« Nos défauts sont les yeux par lesquels nous voyons l’idéal »

Tout homme capable se bute à sa capacité et ne peut pas s’appuyer sur celle-ci pour juger librement les choses.

S’il n’avait pas, en outre, une bonne part d’imperfection, sa vertu l’empêcherait de parvenir à la liberté intellectuelle et morale.

Nos défauts sont les yeux par lesquels nous voyons l’idéal.

Friedrich NietzscheHumain, trop humain ; « Opinions et sentences mêlées » (1878)

 

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s