Une poésie digne de ce nom commence par l’expérience de la fatalité. Il n’y a que les mauvais poètes qui soient libres.
Emil Cioran – Syllogismes de l’amertume (1952)
Une poésie digne de ce nom commence par l’expérience de la fatalité. Il n’y a que les mauvais poètes qui soient libres.
Emil Cioran – Syllogismes de l’amertume (1952)