À quoi sert de recreuser sa tristesse ?
Il faut se poser vis-à-vis de soi-même en homme fort ; c’est le moyen de le devenir.
Un peu plus d’orgueil, saprelotte !
[…] Prenez garde à la tristesse. C’est un vice.
On prend plaisir à être chagrin et, quand le chagrin est passé, comme on y a usé des forces précieuses, on en reste abruti.
Alors on a des regrets, mais il n’est plus temps.
Gustave Flaubert – Lettre à Guy de Maupassant (1878)