Ne te décourage point, et imite les maîtres d’exercice, qui, dès qu’un jeune homme est terrassé, lui ordonnent de se relever et de combattre encore.
Parle de même à ton âme. Il n’est rien de plus souple que l’âme de l’homme ; il ne faut que vouloir, et tout est fait.
Mais si tu te relâches, tu es perdu ; tu ne te relèveras de ta vie : ta perte et ton salut sont en toi.
Épictète – Entretiens (IV-XXXVI)