La vieillesse n’ôte à l’homme d’esprit que des qualités inutiles à la sagesse.
Joseph Joubert (1754-1824) – Journal intime (28 octobre 1808)
[…] et dans la sagesse humaine ce résidu épuré par la vieillesse est peut-être ce que nous avons de meilleur. (22 août 1813)
La vieillesse aime le peu, et la jeunesse aime le trop. (20 février 1814)
Vieillesse. Elle ôte la force peut être, elle ôte la puissance, mais du moins elle n’ôte pas la sagesse. Qu’a-t-elle donc de redoutable pour l’esprit ? (18 avril 1814)