Ceux qui écrivent obscurément ont bien de la chance : ils auront des commentateurs. Les autres n’auront que des lecteurs, ce qui, paraît-il, est méprisable.
Albert Camus – Carnets (1950)
Ceux qui écrivent obscurément ont bien de la chance : ils auront des commentateurs. Les autres n’auront que des lecteurs, ce qui, paraît-il, est méprisable.
Albert Camus – Carnets (1950)