Malgré tout, le temps a un grand pouvoir, et l’âge amortit de façon étrange tous les sentiments.
On sent qu’on est plus près de la mort ; son ombre tombe, noire, sur le chemin ; les choses paraissent moins vives, elles ne pénètrent plus aussi profond et elles perdent beaucoup de leur puissance dangereuse.
Stefan Zweig – Vingt-quatre Heures de la vie d’une femme (1927)
