« Il n’y a pas progrès partout »

[…] il n’y a pas progrès partout.

Les problèmes fondamentaux de l’humanité demeurent les mêmes à chaque époque.

Quiconque lit les discours de Démosthène et les lettres de Cicéron, ou, si l’on préfère, les essais de Bacon et de Montaigne, se rend compte jusqu’à quel point est constante la préoccupation des hommes au sujet du bonheur et de la justice, de la vertu et de la vérité, et même au sujet de la stabilité et du changement.

On peut en venir à accélérer la marche de la vie, mais on ne peut vraisemblablement pas réussir à changer les moyens qui nous conduisent à ses buts.

Mortimer AdlerComment lire un livre (1940)

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