Les riens infinis sont les humbles actes quotidiens : la toile qu’on coud, la page tournée – les banals plaisirs éternels : le parfum d’un massif, la saveur d’un fruit…
[…] Les riens infinis sont, dans l’arbre de notre existence, les innombrables feuilles qui lui donnent sa forme.
Pierre Aguétant – Le Cœur secret (1921)
