« L’homme succombera tué par l’excès de ce qu’il appelle la civilisation »

Plongeons plus avant dans l’avenir.

Un jour viendra, tout semble le dire, où, de progrès en progrès, l’homme succombera, tué par l’excès de ce qu’il appelle la civilisation.

Trop ardent à faire le dieu, il ne peut espérer la placide longévité de la bête ; il aura disparu alors que  le petit Crapaud dira toujours sa litanie, en compagnie  de la Sauterelle, du Scops et des autres.

Jean-Henri FabreSouvenirs entomologiques (1879-1907)

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