Il est des philanthropes qui, incapables de gérer leurs petites affaires, prennent en main celles du monde entier; mais, comme ils comptent moins de disciples que de créanciers, ils devront toujours plus à l’humanité qu’elle ne leur devra jamais elle-même.
De petits despotes démocrates se mettent au-dessus de tout, hormis de leurs affaires.
Les révolutionnaires, après avoir brouillé les cartes, laissent au peuple celle à payer.
Jules Petit-Senn – Bluettes et boutades (1846)
