[…] je voudrais que les philosophes se servissent de la langue de tout le monde.
Il est vrai que c’est pour une raison qui enlèvera à vos yeux tout pris à mon désir : c’est parce que leurs termes spéciaux actuels sont des nids d’équivoques, et qu’une bonne langue philosophique est chose encore à faire.
Julien Benda – Les sentiments de Critias (1917)
