[…] chaque homme porte en lui un monde composé de tout ce qu’il a vu et aimé, et où il rentre sans cesse, alors même qu’il parcourt et semble habiter un monde étranger.
François-René de Chateaubriand – Voyage en Italie (1827)

[…] chaque homme porte en lui un monde composé de tout ce qu’il a vu et aimé, et où il rentre sans cesse, alors même qu’il parcourt et semble habiter un monde étranger.
François-René de Chateaubriand – Voyage en Italie (1827)
