Dans un cœur troublé par le souvenir, il n’y a pas de place pour l’espérance ; ces deux sentiments, dans leur extrême vivacité, s’excluent l’un l’autre ; ce n’est qu’en s’affaiblissant qu’ils se concilient, s’adoucissent et finissent par s’appeler mutuellement.
Alfred de Musset – Frédéric et Bernerette (1838)
