[…] oui, l’homme est un animal vivace ! on pourrait le définir : un être qui s’habitue à tout, et ce serait peut-être là la meilleure définition qu’on en ait donnée.
Fiodor Dostoïevski – Souvenirs de la maison des morts (1860)

[…] oui, l’homme est un animal vivace ! on pourrait le définir : un être qui s’habitue à tout, et ce serait peut-être là la meilleure définition qu’on en ait donnée.
Fiodor Dostoïevski – Souvenirs de la maison des morts (1860)
