Les peuples se taisaient, somnolaient. Alors,
Le destin, pour qu’ils ne s’endorment point, fit surgir
L’inexorable, le terrifiant fils
De la Nature, le vieil Esprit d’Inquiétude […].
[« Die Völker schwiegen, schlummerten, da sahe
Das Schicksal, daß sie nicht entschliefen, und es kam
Der unerbittliche, der furchtbare
Sohn der Natur, der alte Geist der Unruh. »]
Friedrich Hölderlin – Les peuples somnolaient … (1797)
