[…] on a le sentiment d’avoir deux âmes : l’une pour faire, et l’autre pour blâmer ce qu’on fait.
Henri Beyle, dit Stendhal – De l’amour (1822)
[…] on a le sentiment d’avoir deux âmes : l’une pour faire, et l’autre pour blâmer ce qu’on fait.
Henri Beyle, dit Stendhal – De l’amour (1822)