[…] la vie des peuples a comme des lois fixes.
Pour l’Europe, c’est de ne pas supporter une grande domination : cela s’est vu depuis la chute de l’Empire carolingien.
Pour l’Allemagne, c’est d’envahir ses voisins dès qu’elle est forte : cela s’est vu toujours.
[…] Le danger était toujours le même pour nous. […] Pour avoir raison de la France, l’ennemi a toujours su qu’il devait trouver des partisans chez elle.
Jacques Bainville – Histoire de France (1924)